Beach, sun and protection

Il se fait un peu trop rare en ce moment mais quand il pointe le bout de son nez mieux vaut s'en méfier.
Le soleil d'Australie est redoutable, il suffit de rester deux minutes dehors pour prendre un coup de soleil sur le pif. Ici la crème de jour est remplacée par de la crème solaire et chaque enfant a un tube accroché a son sac d'école. La faute au trou de la couche d'ozone située juste au dessus de l'Australie (entre autres)...
Inutiles de préciser les effets sur l'environnement mais les chiffres concernant l'humain directement sont effrayants : ''A l’âge de 75 ans, deux Australiens sur trois de peau blanche doivent subir un traitement contre le cancer!''.

Depuis que la photo ci-dessus a été prise, nous sommes passés à une protection 30 qui est la protection minimum commercialisée en pharmacie.

''Au printemps, au sud de l’Australie, des milliers de baigneurs se pressent sur les plages, mais ils doivent être très prudents. Le trou dans l’ozone stratosphérique, qui apparaît chaque année au-dessus de l’Antarctique fait sentir ses effets sur une grande partie du pays. Toute personne qui séjourne en pleine air est exposée à un rayonnement solaire plus intense, qui constitue une redoutable menace pour sa peau et ses yeux. Chaque jour, la télévision rappelle les dangers et montre sur un graphique l’intensité au sol du dangereux rayonnement ultraviolet B.

D’immenses étendues de l’hémisphère sud sont touchées par la déchirure dans la couche d’ozone, non seulement des grandes villes comme Sydney et Melbourne mais aussi la Nouvelle-Zélande, le sud de Chili et de l’Argentine. L’Australie détient le record mondial du nombre de cancers de la peau. A l’âge de 75 ans, deux Australiens sur trois de peau blanche doivent subir un traitement contre le cancer!''.

Source : www.edunet.ch